C’est hors de lui, exaspéré que Victor HUGO écrit cette poésie intitulée les Châtiments en 1853, suite à l’exécution de trois prisonniers politique sur la place publique sur ordre de Napoléon III. Notre étude va porter sur un extrait de cette poésie et plus particulièrement de la manière dont Victor HUGO fait d’une poésie, un texte argumentatif. Pour ce faire, il s’agira, dans un premier temps, d’observer la façon avec la quel l’auteur persuade le lecteur, ce qui nous conduira a voir que l’auteur ne se contente pas seulement de le persuader, il le convainc également.

Victor HUGO utilise la sensibilité, il fait appel aux sentiments, dans le but de persuader le lecteur. Pour cela, nous allons observer que la poésie est un atout à la sensibilité avant de remarquer que le pluralisme des registres permet également de persuader l’auditoire. Cet extrait est issu d’un poème, nous pouvons remarquer les alexandrins, et certaines rimes riches. La poésie a pour but des montrer la réalité du monde sous forme inattendu. En effet dans ce texte, l’auteur montre affreuseté de la guillotine en faisant l’éloge des victimes, et afin d’interpeller et de faire réagir le lecteur, l’auteur utilise une phrase interrogative au vers 2 et le pronom toi au vers 12. Les enjambements au vers 20, 21 et 22 montre toute l’exaspérante de Victor HUGO, le fait qu’il ne veut pas s’arrêter avant que chacun dénonce ce crime. La chute de ce poème a une grande importance car elle est totalement inattendu et arrive par une phrase simple ; un sujets, un verbe suivi d’un autre verbe à l’infinitif cette fois permettant de mettre l’accent sur l’action qu’il exprime, le lecteur imagine cette tête coupée rouler dans se tête, ce qui accentue son arrivée. Lorsque nous nous penchons un peu plus sur le texte nous notons la présence de plusieurs registres. En effet, le registre lyrique est présent, car il est caractérisé par l’expression des sentiments et des émotions par l’expression notamment « ces