Disparition des poules en alaska
Dommage pour la production des œufs en gelées, et pour les amateurs de lait de poule, comme le coq en pâte que je suis.
La traite des poules ne sera plus qu’un souvenir, dans l’esprit des vieux Alaskans et des maîtres coqs. Rien de n’œuf en ce monde, entre autres coquecigrues !
Et en cet état j’erre ! Me direz-vous bonne dame, me diras-tu ma poule.
Les politologues affirment, que c’est une suite logique de la disparition des cocos en Russie, d’autant plus que depuis la fin de la guerre froide, les élus (vite élus / vitellus) ne se dressent plus sur leurs ergots, n’ont plus de prises de becs, car les électeurs n’ont plus eux-mêmes la chair de poule.
Des modistes disent, la bouche en cul-de-poule par coquetterie : « c’est tout à fait normal, le pull pied-de-poule n’étant pas tendance ! » Laissons-les donc caqueter.
Les crânes d’œuf et autres scientifiques expliquent, que c’est à cause de la grippe aviaire, et de la raréfaction de la coqueluche, de Bangkok à Liverpool... !
Un coq du village, sportif de l’ovalie, passant du coq-à-l’âne, clame qu’il faut faire des changements de poules, et créer des clubs de poussins.
Certains irréductibles, se sont pourtant essayés à la reproduction de cet animal emblématique de l’Alaska, dont le mâle est somme toute l’emblème de la France: « cocorico ! », et de la Wallonie: "collocucu !".
D’aucuns, les plus bêtes, ont essayé la reproduction in-vitraux, mais ce sont heurtés à l’incompréhension du clergé gallican.
Les plus courageux ont téléphonés à la maison poulaga, et les poulets ont failli leur voler dans les plumes.
De plus ingénieux de la Haute Cour, ont optés pour la reprographie, mais les photocopieuses de Coque aux Ricoh, se prêtent mal à la reproduction des volailles de basse-cour, et ce n’est que justice.
On ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs !
Quid de l’œuf ou la poule, lequel fut le premier ?
Il faudra donc se réduire à la disparition de ce gentil