La notion de liberté de travail se voit avant tout comme un droit fondamental protégé par le droit interne mais aussi par différente disposition international afin que toutes personnes puissent exercer un métier dans une situation juridique voulut. Relevant ainsi de deux dimensions, une individuel et une collective.!
L’évolution historique de la liberté de travail nous permet de constater l’intérêt de cette notion au sein d’un Etat. En effet, avant le XIX siècle le libéralisme était de rigueur il n’y avait pas véritablement d’encadrement du travail seul prônait le régime corporatif, dès l’ère industriel certaine convention international adopter par l’organisation national du travail en 1919 on permit de légiférer et structurer cette notion jusqu’au préambule de 1946 qui va consacrer le droit à l’emploi.
Révélant ainsi une dimension pas juste économique mais aussi individuel, qui de ce fait doit être sous la coupe de l’Etat et de l’Union Européenne !
Il devient sensée de se demander comment l’évolution de la liberté de travail a-t-elle aboutit à une notion protéiforme ? !
Pour ce faire, on se doit d’étudier le sens de cette notion (I) afin de révéler ces principales acceptions (II).!

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I/ Le sens actuel du concept de liberté du travail.!
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a/ Evolution de la notion.!
L’étude du contexte historique autour de la liberté de travail nous enseigne que depuis le
Moyen Age où l’Etat français était corporatif, la communauté politique (et donc de métiers) attribuait la majeure partie de ces privilèges aux sujets de la haute hiérarchie (princes, seigneurs, clerc …). Avec l’arrivé de la révolution industriel, est apparue la notion de libéralisme où la liberté était « totale » les enfants aux travaillent, le travail de nuit … Ce n’est qu’en 1830 que les premières lois viennent encadrer certains domaines notamment en interdisant aux enfants de moins de 8 ans de travailler. Le libéralisme du droit du travail se voit considérablement restreint