Mes dames, mes demoiselles, Monsieurs, les membres des jurys, honorables assistance ; BONJOUR !Moi, je me nome RAZAFY Nosy.C’est avec une immense plaisir pour moi de me tenir ici devant vous pour faire un monologue en vous exposant les fruits de mes recherches qui s’intitule le maître Lucien BOTOVASOA.Mais, avant tout, permettez moi de remercier DIEU tout puissant pour son amour, son aide, sa grâce ; pour que je puisse réaliser ma soutenance aujourd’hui.Mes sincère remerciement s’adressent aussi …afficher plus de contenu…

Je suis ici pour parler du « Maitre Lucien BOTOVASOA ».Mais avant d’entrer dans le détail, il est important de connaître que : Lucien BOTOVASOA est un bienheureux , C’est l’un des bienheureux de nationalité malgache, et c’est la raison pour laquelle je le choisis comme thème de ma recherche.De plus, Un bienheureux c’est celui qui jouit la béatitude éternelle , bien-sûr de chrétien catholique.Mes dames et messieurs,Ma présentation se fera en trois (3) grandes parties :· Dans la première partie, je vous amènerai à découvrir LA VIE FAMILIALE DE LUCIEN BOTOVASOA.· Dans la seconde partie, je vous parlerai de SA VIE RELIGIEUSE .· Et dans la dernière partie, je continuerai mon exposition en parlant DE SA MORT ET SA BEATIFICATION .· À la fin de ma présentation je vous montrerai quelques photos marquant l’histoire du maître LUCIEN …afficher plus de contenu…

Il est fils de BEHANDRY Joseph et NEVIANTSOA Philomène ; une famille pauvre de la côte SUD-EST de Madagascar. À l’âge de 22ans,en 1930 , Il était marié à Suzanne (Soazana) qui n’avait que 16 ans. Ils ont huit (8) enfants mais c'est cinq seulement qui ont été vécus dont :GAÏANE ; COLOMBAN ; FRANÇOIS ; VINCENT et MARGUERITE. Lucien faisait des heures supplémentaires pour sa Famille. En suite SES ETUDEIl a commencé ses études dans une école public, pour passer dans collège Saint Joseph, en 1920 . Là où il avait reçu un solide formation chrétienne ; après , il poursuivait chez les jésuites de Fianarantsoa pendant lesquelles il était major de sa promotion. Lucien lisait beaucoup, il est multilinguste, puisqu’il apprenait non seulement le malgache mais encore le français, le latin, l’allemand, le mandarin et l’anglais. Il lisait également les textes arabo-malgaches. Et pour finir la première partie de cette