Différence cônes et bâtonnets
En étudiant la composition de l’œil nous pouvons constater que les cônes sont majoritairement situés au centre de la rétine, et lors d’une expérience qui consiste à fixer dans une phrase un mot précis écrit d’un différentes couleurs par rapport aux autres, nous pouvons constater qu’il est difficile de distinguer les mots éloigné du mot fixé, nous pouvons donc affirmé que les cônes permettent d’avoir une vision précise dans une zone centrale, là où la rétine est le plus chargée en cônes. En étudiant la vision d’un individu atteint de rétinopathie à cônes prédominants nous pouvons constater qu’il voit une tache au centre de sa zone de vision, ce qui rejoint notre conclusion précédente, mais nous remarquons également que l’individu a du mal à percevoir les couleurs, nous pouvons donc aussi affirmer que les cônes servent à percevoir les couleurs. Lors d’une expérience consistant à mesurer la quantité de lumière nécessaire pour déclencher une réaction, l’émission d’un message par les photorécepteurs, lors de cette expérience nous avons constaté qu’il existe trois types de cônes nécessitant une quantité de lumière propre à chacun pour émettre un message, nous avons également constaté que pour fonctionner, les cônes ont besoin d’une quantité de lumière beaucoup plus importante que celle de bâtonnets.
Quand on observe la rétine humaine on peut constater que les bâtonnets sont présents sur les côtés, nous pouvons donc dire que les bâtonnets servent à avoir une vision « périphérique ». Lors de la comparaison entre la composition de la rétine chez un oiseau nocturne et un oiseau diurne nous avons pu constater que celle de l’oiseau diurne contient les deux type de photorécepteurs tandis que celle de l’oiseau nocturne ne contient que des bâtonnets, nous pouvons donc affirmer grâce à cette