Peu connu en dehors de son Autriche natale, Dietrich Mateschitz est l'un des entrepreneurs les plus prospères de notre époque, un homme qui à lui seul a changé le paysage de l'industrie des boissons en créant non seulement une nouvelle marque, mais une toute nouvelle catégorie: la boisson énergétique. Comme le visionnaire qui a apporté au monde Red Bull, affectueusement connu sous le nom Vitesse dans une boîte» ou encore «cocaïne liquide», Mateschitz, 67 ans, a été un saint patron pendant plus de deux décennies pour les fêtards de fin de soirée, examen semaines étudiants de premier cycle, les camionneurs de longue distance, et, surtout, l'extrême les athlètes de sports partout dans le monde
En échange de son malade innovation doux, le monde lui a fait très, très riche. L'année dernière, l'entreprise privée, aussi appelé Red Bull, affirme qu'il a vendu 4,2 milliards de canettes de sa boisson, y compris les plus d'un milliard dans le seul territoire américain. Cela représente une augmentation de 7,9 pour cent par rapport à l'année précédente, et les revenus ont bondi de 15,8 pour cent à 5,175 milliards $.
Mateschitz dirige une entreprise efficace qui n'a pas encore trébucher sur sa croissance rapide: À la fin de 2004, il venait de 2.605 employés, en 2010, Red Bull emploie 7,758 personnes-ce qui correspond à plus de 667.000 dollars de revenus par personne. Maintenant, il a jeté son dévolu sur les médias. Le 15 mai, les abonnés au Los Angeles Times, Chicago Tribune, Miami Herald, Houston Chronicle, et New York Daily Nouvelles a trouvé un magazine appelé Red Bulletin inséré dans leurs journaux du dimanche. Le 98 pages sur papier glacé caractéristiques d'une histoire de couverture sur San Francisco Giants as Tim Lincecum, ainsi que des pièces sur Bob Dylan, l'art du graffiti, et BASE jumper russe Valéry rozov. Présentée comme "un mois à peu près indépendante", le magazine est un produit de Red Bull Media House, une société de médias filiale lancé en Autriche en 2007,