Dictature iran
En Iran :
Officiellement République Islamique d’Iran, pays d’Asie occidentale. Capitale Téhéran.
Internet est une arme utilisée contre les mollahs (le clergé chiite, constitue une des branches de l’islam) ; mais seulement 4,6% des Iraniens y ont accès en 2003 selon The New York Times.
Les autorités iraniennes punissent sévèrement la presse qui essaie de reformer se pays : surtout les journaux, car il est plus difficile de lutter contre internet.
Sina Montallebi est un symbole de la génération libérale car les mollahs n’ont pas réussi a la faire taire.
C’est grâce aux weblogs (ou blogs) que les réformistes diffusent leurs idées.
Même si les mollahs font tout pour réduire l’accès à Internet, cela ne sera pas éternel. « Tout cela ne durera pas longtemps. Les jours de se régimes sont comptés » précise IranianGirl.
A l’introduction d’internet en Iran, les services étaient complètement ouverts mais aujourd’hui, le gouvernement filtre son accès pour bloquer les contenus jugés inappropriés. Ainsi, il y un total bannissement des sites pornographiques, et la quasi totalité des sites fournissant des outils permettant de contourner les filtrages, les sites d’information ainsi que les « blogs » sont également bloqués[]. Cette censure est rendue possible par la loi iranienne de la presse de 1986, qui régule l'accès à l'information. Cette loi requiert aujourd'hui que les FAI installent des mécanismes de filtrage et les peines prévues pour les violations des lois sur l'accès et la diffusion de l'information peuvent être très sévère.
Après l'arrivée au pouvoir de Khatami en 1997 et l'émergence d'un mouvement réformateur (les réformistes, menés par Khatami, voulaient faciliter l'information du public), les conservateurs ont agi sur la presse et les mouvements se sont déplacés sur la toile. C'est à la même période qu'ont commencé à croître fortement le nombre de blogs en persan. En effet, les blogs représentent une fenêtre pour les