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Les nuits
Nous allons nous intéresser à Alfred Musset, mais plus particulièrement à son œuvre Les Nuits, écrit de 1935 à 1937, où nous allons expliquer le dialogue entre les deux personnages qui sont le poète et sa muse. Par la suite, nous allons examiner le lexique utilisé et les constructions choisies par le poète. Enfin, nous terminerons sur l’inquiétude du poète.
D’abord, nous allons étudier le dialogue, qui est représenté sous forme théâtrale. Il oppose la muse et le poète qui sont ici des personnages types. Nous voyons dans le texte, que des ordres sont donnés de la part de la muse au poète « Poète, prends ton luth et me donne un baiser ».On peut observer que la muse utilise le mètre noble de l’alexandrin tandis que le poète s’exprime en octosyllabe qui fait paraitre sa voix courte et essoufflé. On reconnait un dialogue difficile entre les deux personnages, expliqué par le faite que le poète au début ne reconnait pas la muse « J’ai cru qu’une forme voilée, flottait là-bas sur la forêt » « Elle s’efface et disparait ». Le poète n’arrive qu’à reconnaitre la muse à la strophe six.
Ensuite, nous allons examiner le lexique utilisé et les constructions choisies par le poète. Il utilise la langue du sublime du grand lyrisme, qui fait référence aux limites ordinaires de l’expérience humaine, et qui de plus est un langage très élaboré et métaphorique « Sur le frelon nacré qu’elle enivre en mourant ». On voit aussi que le poème de Musset est érotique et sensuel par la muse « Console-moi ce soir, je me meurs d’espérance ». On reconnait ici le romantisme.
Enfin, nous allons terminer sur l’inquiétude du poète, basé sur son manque d’inspiration. On voit le poète poser beaucoup de question a la muse « Pourquoi mon cœur bat il si vite ?...Dont je me sens épouvanté ? » exprimant le doute du poète, et au contraire on remarque que la muse elle donne plusieurs exclamation « Poète, prend ton luth, … Console moi ce soir ». Tout comme déjà dit, la muse