Devoir
L'affaire d'espionnage chez le constructeur automobile français Renault semble s'être dégonflée, aucun compte bancaire à l'étranger n'ayant été trouvé.
L'affaire de protection des données chez Renault et la démission de son directeur général, Patrick Pélata ont relancé la question de la sécurité dans le milieu des entreprises. Trois experts se sont penchés sur les liens entre entreprises et espionnage industriel et les risques de dérives des directions de multinationales en matière de protection des données. Pour Bertrand Warusfel (pour l'ISAD), il faut mettre en place en amont une véritable politique de sécurité de l'information. Encore faut-il que les multinationales acceptent de participer à la moralisation des affaires, répond Marjorie Lebrun (IRSEM). Peut-être, leur lance Ali Laïdi (IRIS), mais l'espionnage industriel est un concept dépassé, l'heure est à l'hypercompétition, la sophistication des moyens et la banalisation des pratiques déloyales...
Jusqu'où les entreprises peuvent-elles aller dans la lutte contre l'espionnage industriel ?
L'affaire d'espionnage chez le constructeur automobile français Renault semble s'être dégonflée, aucun compte bancaire à l'étranger n'ayant été trouvé.
L'affaire de protection des données chez Renault et la démission de son directeur général, Patrick Pélata ont relancé la question de la sécurité dans le milieu des entreprises. Trois experts se sont penchés sur les liens entre entreprises et espionnage industriel et les risques de dérives des directions de multinationales en matière de protection des données. Pour Bertrand Warusfel (pour l'ISAD), il faut mettre en place en amont une véritable politique de sécurité de l'information. Encore faut-il que les multinationales acceptent de participer à la moralisation des affaires, répond Marjorie Lebrun (IRSEM). Peut-être, leur lance Ali Laïdi (IRIS), mais l'espionnage