Devoir voltaire - candide
DM
1- « Terre déplorable » et « assemblage effroyables » est une rime féminine.
« Paris » et « esprits » est une rime masculine.
2- « climats » et « pas » est une rime pauvre. « affreuses » et « malheureuses » est une rime riche.
3- Il y a une dierese à la ligne 55, « bien ».
4- Voltaire pense à Leibniz. Il vise la doctrine optimiste, qui consiste à dire que « Tout est bien ». Leibniz soutient cette doctrine. Il est d’ailleurs représenté par Pangloss dans Candide. Voltaire est indigné que des philosophes puissent soutenir de telles philosophies après la catastrophe de Lisbonne, et tout au long du poême, Voltaire contredit cette philosophie et montre qu’elle est fausse, par exemple à la ligne 30 « Quoi ! l’univers tout entier, sans ce gouffre infernal, Sans engloutir Lisbonne, eut-il été plus mal ? ». Voltaire formule une question réthorique, disant que le monde n’est pas plus heureux après la catastrophe de Lisbonne.
5- Voltaire veut dire que les pays au nord du Portugal vont pouvoir faire du profit sur le malheur du pays, en leur vendant matériaux et ressources alimentaires nécessaires à la reconstruction de la ville. Les ennemis peuvent profiter de l’affaiblissement pour atttaquer le pays.
6- On voit apparaître les convictions religieuses de Voltaire de la ligne 40 à 56. Voltaire respecte Dieu mais il aime l’univers, son monde. Il trouve horrible d’avoir causé un tel désastre pour punir l’homme, et qu’on dise aux hommes pour les consoler que c’est la volonté de Dieu, et que la catastrophe permettra l’évolution du monde.
7- Voltaire parle de Jésus qui est venu sur Terre. Il dit que celui-ci est venu mais que cela n’a rien changé.
8- « Gouffre enflammé » (l.41) est une métaphore. « L’Être tout parfait » (l.68) est une périphrase. « puisque Dieu seul est mâitre : Il existe pourtant » (l.70-71) est une anaphore. « De l’auteur de tout bien le mal est-il venu » est une antithese.
9- « Cent mille infortunés que la terre