devoir de la philosophie
Si l’on demande qu’elle est la fonction de l’homme ou quelle est sa fin ? Aristote nous répondrai : La nature de l’homme est de poursuivre cette fin parfaite, le souverain bien, et de parvenir au bonheur.
L’éthique, selon Aristote, en reviens donc à un guide pratique qui doit guider l’homme vers le bonheur et le citoyen vers le bien commun de la cité. La finalité toujours selon Aristote est un principe de développement immanent et interne à tout être naturel et la nature d’une chose est sa fin. Ce principe métaphysique (qui dépasse tout choses sensibles et les représentations du sens commun) signifie que chaque chose existe dans le but dont elle poursuit, quand cette fin est atteinte, le plein potentiel est donc réalisé. C’est à ce moment que l’on parvient à la perfection de son être.
Cette philosophie de cause finale est décrite comme téléologique (du grec telos, « fin », et logos, « raison, discours »). Cette finalité ce résume à trouver la réponse à la question de la nature de l’être humain et quelle est sa fin.
Le bonheur
Le souverain bien
Une vie bonne
Il y a donc deux sortes de bien, le bien que l’on vise pour en atteindre un autre et celui que l’on vise pour nous même. La première est utile au bonheur, mais son considérer comme extérieur ou encore comme un instrument. La deuxième toutefois ne dépend d’aucun autre, c’est en fait pour nous même que nous le voulons. Sa représente donc la fin ou le but ultime poursuivie par l’être humain. Aristote le classifie de bien suprême ou du souverain bien, ce qui est égale au bonheur.
Est-ce que cette finalité suffit pour définir nos obligations et responsabilités morales ?
Il est certes que la finalité est pour objectif de déployer son plein potentiel et nous perfectionner ; nous visons un bien ou une fin