Descola Au dela nature et culture
Dans ce texte, l’auteur traite le débat « nature-culture » à partir de l’analyse de la disposition du musée d’Histoire naturelle de La Plata, Argentina, puisque d’après lui montre la conception du monde telle comme on la conçoive depuis longtemps. En gros, l’organisation c’est comme ça; en bas c’est dédié aux sciences de la nature, et tous les éléments sont organisés selon les taxinomies linnéennes. En haut on trouve les différentes manifestations culturelles de l’être humaine, organisées selon l’échelle évolutive vers la civilisation. Descola affirme que dans le premier cas les arrangés on des limites claires, par contre, dans le deuxième règne la confusion de la diversité. C’est pourquoi on pense à deux plans, on utilise le schème dualiste pour classifier les choses qu’on connaît. Quand même, on essaye de créer des connexions entre les deux niveaux, aussi. Dans un côté, quelques uns assurent que le systèmes de la nature crées sont, en partie, une construction culturelle car ils ne peut pas s’exprimer qu’à travers des filtres culturels. Dans l’autre, quelques autres diront que les coutumes et les institutions reposent sur des dynamismes naturels (il y a cannibalisme dû aux exigences du métabolisme).
Cependant, Descola pense que cet cosmologie crée est en désintégration. Il en donne trois exemples; le premier concerne aux droits des animaux et le fait qu’ils ne sont plus vus comme des choses (mais pas comme des personnes encore). Le deuxième c’est la découverte que l’aptitude d’inférer des états mentaux propres chez autres n’est pas qu’une caractéristique de l’espèce humaine mais des chimpanzés aussi. Le dernier exemple montre comment selon la terminologie préhistorienne, les chimpanzés disposent de traditions de culture matérielle. Dans cet point là, l’auteur croit nécessaire repenser la convenance du terme culture. Par commencer il y a différentes approches à ce terme; si on parle de culture matérialiste