Dernier vers jules laforgue
Victor Hugo ecrit le dernier jour d'un comdamné car il est contre la peine de mort, c'est un roman qui est un journal puisque le personnage commence par " Voila cinq semaines" . Ce genre d'incipit est un commencement normal du recit, le personnage a deja commence a parler. cet incipit est in media res ce qui veut dire que l'histoire est deja milieu du recit. Le lecteur est deja plonge dans l'action qui a commence avant qu'il n'arrive car le personnage va etre comdamné "cinq semaines". le personnage ecrit un faux journal intime puisqu'il n'est pas l'auteur mais il parle a je. il y a une forte utilisation des sentiments ; on voit qu'il a très peur en meme temp il est tres enerve et agressif. il n'a pas envie d'etre tuer, il y a une focalisation interne, il parle tout seul comme si il faisait un monologue. le lecteur permet d'acceder directement aux pensées du comdamné. a l'epoque c'etait une nouveauté. on a un indicateur de lieu qui est bicetre. on voit que victor hugo utilise toute les caracteristique d'un journal intime comme par exemple il n'y a pas la presentation du personnage et que l'on se met a la place du personnage. dans cet extrait il y a une obsession de la mort quand il repete la phrase " comdamné a mort" . le etxte est encadre sur cette idée qui est repetitif et continu au debut jusqu'a la fin il met en evidence la reflexion sur cette phrase. il y a une formulation des phrases breve et marquante puisque l'idée essentiel lise en valeur est "!" ( point d"exclamation) il y a beaucoup de repetition par exemple quand il dit " jen'ai qu'une pensé, qu'une conviction; qu'une certitude" il y a la repetition de ""et utilise" et dans la phrase " toujour glace de sa presence, toujour courbe sous son poid" il y a une repetition du mot toujour il insiste dessus parceque il veut s'en debarasser mais il ne peut