De la conscience – Montaigne

Si Montaigne écrit le texte sur la torture c'est parce qu’à cette époque il est coutumier de faire avouer le coupable par la torture. Il reprend son texte à deux reprises pour allonger son texte. Et on peut se demander si la torture est nécessaire pour faire avouer les criminels.
A cause de ces ajouts on travailleras de manière linéaire pour montrer sa progression dans les idées.

Montaigne oppose la torture à la force physique (L.2). Certain ne réagisse pas de la même manière à la torture et elle n'est pas garantie de la vérité (L.3). Montaigne va jouer sur cette opposition dans le paragraphe, il pose des questions rhétoriques, on relève le champ lexical de la parole «avouez, forcera de dire, avouez sa faute». La torture amène à la mort (L.7) toute fois la torture ici n'est pas que physique elle peut être aussi morale (L.8). Si on suit le raisonnement de Montaigne, il début se paragraphe et le termine avec l'idée que la torture est dangereuse. Il pose des questions afin de faire réfléchir si torturer les individus les amènent automatiquement à délivrer la vérité. On constate qu'à la ligne il y a une concétion comme qu'au finalement la torture est un moyen utile pour faire pression et pour les inciter à ne pas commettre d'erreur, cette concession est vite contredite à la fin du paragraphe. Afin d’appuyer sa thèse Montaigne utilise à la ligne 16 des arguments d'autorité en citant un moraliste latin qui appui l'idée que même un innocent peut avouez n'importe quoi lorsqu'il souffre. Des lignes 19 à 24 il donne comme exemple avec le juge qui est censé représenter la loi puisse obtenir de faux aveux d'un prisonnier qui souffre trop. Pourtant cette pratique est bien inscrite dans les mœurs sont pratiqués et à la ligne 25 on a le «on» qui représente l’inconscient collectif du 16e siècle, on peut voir dans cette phrase une litote, on voit qu'il ne soutient pas cette idée car il ne parle pas à la première personnel. On entend sa voix qu'à