Scène 7: Les cadets considèrent Cyrano comme un héros; ils le félicite et sont chacun en admiration face à lui. Ils emplois des expressions gasconnes pour lui monter leur entière admiration, au vers 854 "Mille dious ! - Capededious ! - Mordious ! - Popacapedious !". Puis au vers 857 et 859 deux des cadets le félicite " Bravo!", "Vivat !"
Dans cette scène; les cadets sont euphoriques face à l'exploit qu'a réalisé Cyrano, il s'est battu et a vaincu cent hommes. Ce qui lui vaut le respect et l'admiration. Les cadets trouvent que cela relève de l'exceptionnel et cette tache héroïque vaut le succès auprès de Cyrano.
Les vers 856 et 857 souligne l'état euphoriques des cadets, l'un dit "Que je t'embrasse !"; puis plusieurs suivent en s'exclament "Embrassons-le !".

De Guiche propose à Cyrano de lui apporter sa protection; cela pourrais ainsi lui permettre de dévoiler ses vers au grand jour et par la suite une occasion de lui donner la chance de se voir apporter gloire et succès, en tant qu'artiste reconnu.
Face à la proposition du Comte De guiche, sa première réaction et de refuser catégoriquement l'offre, vers 926 il cite "Non, Monsieur, à personne." Puis il va hésiter ensuite, au vers 931 par la didascalie qui le montre "tenté et un peu charmé" lorsque De Guiche lui dit que Richelieu, son oncle apprécie son talent d'expression ainsi que sa richesse d'imagination et qu'il est de plus, un fervent admirateur de ses compositions. Mais à partir des vers 932 et 933, Cyrano change de comportement; souligné par la didascalie vers 932 "dont le visage s'est immédiatement rembruni"; il s'énerve dès que De Guiche lui annonce que Richelieu étant l'un des plus expert, à en perspective de lui corriger quelques uns de ses vers. Face à cette déclaration il riposte en répondant qu'il est impensable de toucher à ses vers et ni même d'en changer la forme.

Scène 8: Cyrano refuse l'offre du Comte De Guiche car il ne veut pas avoir un patron qui dirige ses fais et gestes et il