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On étudie ici les différences entre les séquences des acides aminés de l’opsine bleue. Pour ceci, on utilise le Logiciel Phylogène.
On commence par mettre en évidence ces différences via un tableau :
On peut voir que l’ opsine bleue du chimpazé ne présente aucune différence avec celle de l’Homme, contrairement à celle du gorille qui en comporte 1 ou à celle du macque, qui en comporte 13. L’ opsine du cebus elle, comporte 25 différences avec celle de l’Homme. D’après la matrice des distances, le chimpanzé et l’Homme partagent la même séquence, alors que celle du gorille comporte une différence. On s’éloigne encore avec les 13 différences du macaque, voir les 25 du cebus. Plus le nombre de différences est élevé, plus les taxons sont éloignés d’un point de vue phylogénétique.
Cet arbre comcorde en partie avec les liens de parentés établis à l’aide du critère « Type de vision » coloré : en effet, on voit bien la différentiation génétique entre le cebus et les autres primates étudiés dans les deux cas, mais cet arbre est plus précis que l’étude précédente.La vision trichromate, caractère ancestral des Primates ?
On étudie ici les différences entre les séquences des acides aminés de l’opsine bleue. Pour ceci, on utilise le Logiciel Phylogène.
On commence par mettre en évidence ces différences via un tableau :
On peut voir que l’ opsine bleue du chimpazé ne présente aucune différence avec celle de l’Homme, contrairement à celle du gorille qui en comporte 1 ou à celle du macque, qui en comporte 13. L’ opsine du cebus elle, comporte 25 différences avec celle de l’Homme. D’après la matrice des distances, le chimpanzé et l’Homme partagent la même séquence, alors que celle du gorille comporte une différence. On s’éloigne encore avec les 13 différences du macaque, voir les 25 du cebus. Plus le nombre de différences est élevé, plus les taxons sont éloignés d’un point de vue