Cultural studies
Le grand représentant se prénomme Stuart Hall, en 1980 il publie Culture, média, langage . Les publics réinterprètent les messages médiatiques en fonctions de leur code socioculturel. L’émetteur véhicule un message imprégné de sa condition socioculturel qui se elle ressent dans la façon de lui dire. Et bien sure le récepteur met en place un décodage en fonction aussi de ses propres codes socioculturel. Il n'y a aucune raison pour que le décodage soit toujours conforme à l'encodage. Aucune raison que le récepteur comprenne systématiquement ce que l’émetteur à voulu dire.
Ex : le poids des codes culturels, qui posent les problématique de communication interculturel. Hang dans les années 80 : Watching Dallas. Dallas c'est la 1° série mondialisée, la série culte de cette période. Mondialisation des séries. Est-ce que cette série plaît à tout le monde pour les mêmes raisons ? Des études sont réalisées dans un certains nombre de pays, en posant par entretient 2 types de question : Comment vous interpréter tout ça ? ( le décoder ) et pourquoi cela vous plaît ? Déjà quel est l'encodage culturel des créateurs de Dallas : On a un homme d'affaire dans le pétrole, qui a une femme dépressive et alcoolique. Dans le monde arabe : une partie répond qu'il a raison de la maltraiter, code culturel autour du tabou de l'alcool, des femmes.. Donc l'encodage ne correspond pas à l'encodage. Dans beaucoup de pays, en Europe, en Orient, schéma simple : c'est la succès story à l'américaine, c'est le modèle. Dans le monde musulmans : les américains n'ont aucune gène a étaler la disparition de leur valeur, de leur culture, pour une partie des gens qui contestent les USA, c'est du pain bénit. Ils trouvent cela