Les liens de l'amour dans la famille

Des vies d'oiseaux de Véronique Ovaldé m'a inspiré. Il montre que tout le monde a besoin de quelqu'un qui est là pour lui à tous moments. A la mort d'une personne chère on a besoin de quelqu'un pour nous soutenir.
Paloma n'a pas eu cette chance, à la mort de son amie personne n'a était là pour elle. Quand Vida lui présente Adolfo, ce garçon si mystérieux lui même traumatisé par son enfance, elle se sent revivre et par avec lui loin de sa mère qui ne comprend pas.
Le lieutenant Taïbo arrive. Il fera comprendre à Vida la réaction de sa fille. Grâce à lui elles se reparleront, toujours liées par ce petit lien qu'une fille ressent pour sa mère.
Ce livre est attirant. Cette passion , cet amour entre les deux femmes qui les relie mais les éloigne en même temps, nous laisse croire que la vie n'est pas si compliquée quand elle est faite de plaisir et qu'on est bien entouré. En le lisant on passe de l'esprit de Vida à celui de Taïbo puis de Paloma. On voit les même chose ou presque que ces trois esprits qui n'interprète pas toujours tout de la même façon. Ils aiment pourtant la vie et s'en emparent le plus possible ce qui les relira à un destin presque identique à la fin. L'envie d'aimer et de voyager, de s'éloigner d'un endroit pour voir la vie d'une autre façon.
Chaque partie, chapitre, page, ligne, mots nous apporte une lecture très spéciale et intéressante. Ce monde d'avant décrit d'une façon qui fait si réelle. Ce peu de suspense que crée l'enquête du lieutenant et de Vida nous empêche de nous arrêter, nous retiens dans ce livre si passionnant.
Je pense que ce livre doit être lu dans son intégralité, sans pause, pour qu'on puisse l'apprécier