Critique: Il y a trop d'images
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Dans son texte « Il y a trop d’images », Bernard Émond défend l’idée que « Chaque jour, nous sommes submergés par une quantité monstrueuse d’images grossières, menteuses, nuisibles. » Cet écrivain cinéaste québécois suggère que notre monde est rempli d’images pas tout à fait véridiques, qui font plus de mal que de bien dans la société. Je suis d’accord avec l’auteur de cet article. Je pense que les réalisateurs et les cinéastes d'aujourd'hui exagèrent, qu’ils poussent même jusqu'à l'absurde dans le but de vendre leurs productions et en agissant ainsi, ils peuvent nuire à la réputation des médias. Tout d’abord, je trouve que les gens qui travaillent dans certains secteurs médiatiques exagèrent jusqu’à un point où la crédibilité du contenu pourrait s’en trouver compromise. Tous les jours, nous regardons la télévision ou visionnons certaines vidéos diffusées sur Internet, et cela, sans que l’on en discerne la nature de certains contenus qui sont plutôt bruts voire même vulgaires. Ces « images grossières, » très souvent, renferment peu ou pas du tout de matière éducative ou édifiante. Il est malheureux de dire que déjà loin sont les jours où l’on pouvait facilement trouver une sorte de professionnalisme bien poli dans le contenu des films et des programmes télévisés. Les médias, tout comme l’auteur l’écrit, dépeignent « une invraisemblable vulgarité. » Même si certains contenus diffusés aujourd'hui sont d’apparence vraisemblable, on peut s’interroger sur leur pertinence et leur relation si on les compare aux sujets significatifs de la discussion de notre époque. On en retrouve partout de ces images menteuses et fausses dont il est question dans l’article de M. Émond. Mon idée personnelle est qu’elles affectent la façon dont nous percevons les choses importantes de la vie. Dans les cas où le contenu des présentations médiatiques qui nous envahissent soit vrai, son intégrité et sa validité doivent quand même être remises en question. Je ne suis pas sûre que les