Crevettes7
Cette progression, aussi bien dans le diamant brut que pour le diamant taillé, est due principalement à la hausse spectaculaire des prix au courant de l’année écoulée jusqu’à l’automne. Certaine qualités de diamants ont frisées une hausse de 45%, ce qui est important comparé au 25% de l’or, qui lui aussi a battu l’un record après l’autre. La fin de l’année a été plus tôt maussade à tel point que l’on a craint une forte baisse, qui heureusement n’a pas eu lieu. La première moitié de 2011 la Diamond Trading Company (DTC) a annoncée une hausse de 33% en diamants bruts comparée à 2010.
Les États Unis ont d’une part apparemment surmontés la crise et d’autre part la Chine et l’Inde, avec leurs classes moyennes en pleines croissances, continuent leurs ascensions régulière comme acheteurs important de joaillerie et de pierres précieuses. Fait remarquable est que le Japon, que l’on croyait temporairement exclu suite à la catastrophe du tsunami se relève plus vite que prévu.
La crise financière mondiale a joué un rôle important, car les valeurs se volatilisent, la confiance dans les institutions bancaires est perdue. L’or, le diamant et les pierres précieuses « Gemmes » sont devenus des valeurs refuges.
On observe les symptômes typiques d’une situation de crise économique : les diamants et pierres précieuses de qualité moyenne sont boudés et les prix baisses, par contre les gemmes, le haut de gamme, sont convoitées et les prix flambes. Les pierres précieuses et fines suivent cette tendance, en dehors des « classiques », saphirs bleus, émeraudes et rubis, la tanzanite a fait un come back ainsi que l’aigue marine. Le spinelle attire de plus en plus le consommateur suivit du saphir jaune, les prix ont d’ailleurs grimpé en conséquence. Selon M.Robertson