crepuscule du soir
Nous allons voir pourquoi la nuit est-elle ambivalente. Premièrement nous verrons la ville de Paris dans la nuit notamment avec la dangerosité de cette dernière mais aussi les activités de cette nuit. Deuxièmement et dernièrement, nous allons montrer la compassion de Baudelaire pour les malades avec la nuit dangereuse et la compassion de l’auteur pour les souffrant.
Tout d’abord, nous voyons dans le champ lexical du texte montre la dangerosité de la nuit. On observe la répétition de mots dangereux du soir comme « criminel » (v. 1), « complice » (v.2 et 24), « bête fauve » (v.4), « démons malsains » (v.11), « la Prostitution » (v.15) , « l’ennemis » (v.18), « catins et d’escrocs » (v.24) et « voleurs » (v.15) mais aussi de l’animalité « pas de loups » (v.2), « un ver » (v.20), « glapir » (v.22) et « rugissement » (v.30). Ce champ lexical montre la dangerosité mais aussi l’animalité de cette ville. Les figures de style de ce texte reflètent que la vie du soir est risquée. Nous le voyons notamment dans les nombreuses figures de styles du texte comme dès le début avec la personnification du soir par le « il » mais aussi la comparaison qui compare le soir a un complice. Cette comparaison montre tout particulièrement que la criminalité et le soir marchent