Crebillon, la nuit et le moment, dialogue « ah ! quel monstre ! »
Clitandre a pour objectif de créer de la complicité avec son auditrice, afin de favoriser un rapprochement intime. a) Un récit libertin
Situation libertine un homme et une femme dans la chambre mais l’homme pas encore se rapprocher. Ligne 25 : « si j’avais l’honneur ». La proximité physique favorise la parole : intersection, exclamation. Première phase récit rétrospectif directement. Clitandre est un libertin : « remercié », « galanterie », « politesse ».
Un vocabulaire ambigu mais qui renvoie à la sensualité. Voir ce récit depuis tendre au début. Effet de surprise calculée et préparer « AH quel monstre ». Suspense pour accrocher son auditrice.
b) L’art du conteur séducteur
Il se livre un récit d’une autre conquête. Que beaucoup de connecteurs « enfin », « cependant ». Arrêt voulu pour voir si son auditrice suite, jeu des non-dits, le jeu de mots avec le point utilisation des mots inattendus : monstre, détestable.
Il renverse les rôles, il a même si la lyse à louer sa rivale, il se fait passer pour une victime.
Champ lexical de la victime voir ni ligne 18 20 21.
Ils passent un libertin A un martyr.
Transition : mais ce récit piquant aura-t-il de tous les effets escomptés ?
II) Les pouvoirs de la parole : énonciation et réception
a) Réaction de la réception : effet produit.
Cidalise est attentive : « ah ! Quels compte ! Ce scrupule était … » , « quoi donc » , « quoi donc »
Eloge d’Amarinte. Elle rentre dans le jeu de Clitandre : « nous »
Transition : le fait de cette attention entraîne une complicité avec Clitandre.
b) La complicité intellectuelle aiguiser par l’usage de l’humour et de l’ironie
Ironie et humour : « monstre »
Mise en scène comique avec toutes les contradictions. Prétexte que le récit pour passer à une conversation sur les déserts libertins : « si vous