B) DES POLITIQUES DE LA VILLE POUR CORRIGER LES FACTURES

RÉPONSES QUESTIONS PAGE 114-115

1) Les quartiers aujourd’hui sont qualifiés de sensible sont des grands ensembles construit dans les années 60, pour faire face à un grand besoin de logement dans l’agglomération parisienne, il constitue alors une rupture totale avec les constructions jusque là pavillonais. La décision a été prise dans le cadre national d’opération «grand ensemble» mis en œuvre par le ministère de la reconstruction.

2) Ces quartiers son mal intégrés au reste de l’espace urbain, ils sont enclavés, situés de part et d’autre de la voie féré et de la gare du Val d’Argenteuil.

3) Les difficultés sociales des habitants se manifestent par une série d’indicateurs sociaux qui sont tous défavorables en comparaison de l’ensemble de la commune et du département : pourcentage plus élevé de non diplômés, de chômeurs, de personnes au faible revenu. À l’inverse, peu d’habitant semble partir en vacances. Les jeunes, les familles monoparentales, les étrangers sont plus nombreux dans ces quartiers, les trafics inégaux y prospèrent. RÉPONSES QUESTIONS PAGE 116

1) La rénovation urbaine se manifeste par la destruction de tour et leur remplacement par des programmes immobiliers de haute qualité instaurant une certaine mixité sociale. D’autres résidences sont réhabilitées, de plus des services à la population sont créés et l’accent est mis également sur des espaces vert.

2) Les acteurs impliqués sont l’état, ainsi que les acteurs publics et privés pour développer des activités. 3) Les initiatives dans le domaine économique vise à favoriser la création d’emplois car l’importance du chômage est une plait du quartier, il s’agit de proposer des locaux bien aménagés, et d’améliorer les dessertes car le quartiers est encadré. C) DES POLITIQUES DE LA VILLE AUX RÉSULTATS VARIABLES Le développement des réseaux en communs a permis un brassage des populations au sein