Cours socio
24/09/12
Vidéo sur le parisien. La dissolution des liens sociaux renvoi à une indifférence brutale entre les hommes. Les ho coexistent ensemble et font mine de n’avoir rien en commun. Aliénation des rapports humains, renvoi à la destruction des formes organiques, à la problématique de l’isolement de l’individu. L’être humain se sent de plus en plus incapable de communiquer de manière significative avec autrui. Ne pas se sentir compris, sentiment d’être étranger au monde. Incapacité de communiquer avec autrui. L’individu est enfermé dans sa propre conscience et il devient totalement incapable d’approcher la subjectivité d’autrui. Or l’identité de l’individu se construit de manière intersubjective. Il y a une plus grande difficulté à approcher la subjectivité d’autrui. Exemple : la dépression (trop de responsabilités sur l’être humain, enfermement de l’individu). Autre conséquence de la détérioration des rapports humains : le désinvestissement de la politique. Les individus ne participent plus à la politique. Forme de tyrannie douce qui passe par le désintérêt des individus à la politique. 1.6 La vitesse et la mobilité accrue Idée de dire qu’il y a une abondance des lieux, des technologies qui favorisent la mobilité. Favorise la mobilité des uns tout en renforçant l’immobilisme des autres. La puissance s’exerce sur le plan territorial. Nouvelle forme de domination des mobiles sur les immobiles. Deuxième idée : mobilité de la pensée. Capacité à se défaire des liens sociaux et à en recréer. Incitation à la mobilité. Cela engendre des troubles psychiques particuliers. Les systèmes de mobilité se généralisent et induisent des transformations majeures de la vie sociale. Parmi ces transformations, le fait que les relations deviennent de plus en plus fluides. Culte de la vitesse, l’urgence tend à se liquéfier et à s’infiltrer partout. Le monde est considéré comme un vaste empressement qui favorise l’instantanéité et la fugacité. Le tend