Cours De Franc Ais
SÉQUENCE 4
MICHEL QUINT 1949 « Effroyables jardins » 2000.
I. La structure du texte : un récit enchâssé
A) Groupe 1 : - Qui parle à la 1ère page du livre ?
Qui est le « je » qui s’exprime ensuite ?
Résumez les pages 8 à 23 en quelques lignes ?
Groupe 2 : - Des p. 22 à 24, qui sont les différents « je » qui racontent l’histoire ?
Délimitez les passages où ils s’expriment ?
Résumez ce qui se passe entre la page 23 et la fin du livre (en quelques lignes environ 8).
Groupe 3 : - À quel moment, à la fin du livre, le 1er narrateur reprend-il la parole ?
Résumez ces pages en quelques lignes.
Dans ce dernier passage, en vous appuyant sur le temps dominant et quelques compléments circonstanciels de temps, montrez quelle impression l’auteur a voulu créer.
Le récit cadre.
Après un passage sur le procès Papon et les lois de Vichy, un premier narrateur, le fils d’un instituteur, raconte, à la 1ère personne, à quel point il détestait que son père fasse le clown. Il évoque aussi son mépris pour son oncle Gaston et sa femme Nicole. Il dévoile qu’il s’est trompé sur leur compte, et qu’il s’en est rendu compte. Grâce à Gaston qui, après une séance de cinéma où ils ont vu « le Pont » de Bernard Wicki, lui a raconté comment la vocation de clown de son père, est née.
Le récit encadré (enchâssé)
Le « je » de la narration est à présent celui de Gaston, qui raconte comment lui et André ont saboté un poste d’aiguillage de train, et ce sont retrouvés pris en otage avec deux autres hommes au fond d’un trou, attendant d’être exécutés. Un soldat allemand, Bernd, leur a offert du pain et du rire, pendant leur captivité, grâce à ces clowneries.
Finalement quelqu’un s’étant dénoncé pour leur crime, ils ont été sauvés et André a décidé de devenir clown, en mémoire de ce soldat.
Récit cadre :
Le fils d’André redevient le « je » qui raconte et explique qu’au moment où il écrit, il se trouve dans un train en direction de Bordeaux et qu’il est en