CHAPITRE 1 : LES FORMES ET FONCTIONS DE LA MONNAIE

Dans les économies primitives, les échanges s’effectuent sous la forme de troc (= céder un bien contre un autre). Le troc est devenu rapidement impraticable lorsque les échanges économiques se sont pratiqués. Le troc à était abandonné au profit de la monnaie.

I. Les différentes formes de monnaie

A. La monnaie marchandise

Peuple
Monnaie
Grecs et Romains
Les bestiaux (animaux, bétail)
Aztèques
Les fèves de cacao
À Terre Neuve
Les morues séchées
Au Tibet
Les blocs de thé
En Nouvelle Guinée
Les coquillages

B. La monnaie métallique (ou divisionnaire)

La création de pièces métalliques favorisent les échanges. Le métal choisi doit avoir une valeur intrinsèque. La monnaie métallique est d’abord en alliage d’or et d’argent. L’or et l’argent se sont rapidement imposés comme instrument monétaire.
Depuis 1968, les pièces émises en France (sauf pièces commémoratives) ne sont plus en métal précieux.
La monnaie divisionnaire est destinée à des transactions de faible montant.

C. La monnaie papier (ou fiduciaire)

La monnaie fiduciaire est représentée par les billets de banque.
Le billet de banque a longtemps été convertible en or. A la suite d’événements graves (guerres, crise de 1929, ..), et en raison de la demande massive de remboursement de billet en or, les États ont supprimé cette conversion.
Actuellement, le billet de banque tire sa valeur du seul fait qu’il est reconnu et accepté par tous les agents économiques comme moyen de paiement.

D. La monnaie scripturale

La monnaie scripturale permet d’effectuer des règlements par de simples jeux d’écritures dans des comptes de dépôts à vue. Cette monnaie permet d’accroître la quantité de monnaie lorsque le banque accorde un crédit.
La monnaie scripturale circule à l’aide de moyens de règlements comme : le chèque ; le virement ; l’avis de prélèvement ; le titre interbancaire de paiement (TIP) ; la carte de crédit.

E. Le processus