Coucou
Tout d'abord, sachez que, le vivant n'est pas définissable si on ne s'interroge pas sur la spécificité, voir la complexité de la vie elle même. Sans prendre partie, nous allons exposé ici qu'il existe une particularité du vivant, il est « supérieur » à toutes choses, par oppositions à tout ce qui est matériels ou inertes (intégrer ici l'idée de dualisme). De plus, le vivant est très étendu, en d'autres termes, son ampleur est énorme, le vivant est partout, il englobe la totalité de ce que comporte la vie : la bactérie, la plante, l'animal, l'homme,... Or, cette diversité va nous poser un problème, car on va se demander qu'elle est le parallèle entre le philosophe et un cactus par exemple ? (hé ouai, c'est un sujet épineux d'ailleurs...).
Un peu étymologie dans ce monde de brut, sachez bande de singe que le mon « machine » vient du grecque « invention ingénieuse » (-Tu le savais pas hin ? - Pd de mathieu...). Alors, par définition, elle ne peut être conçue par rien d'autre que l'homme, la machine va donc être assimilable à un artefact qui est contrôlé par des mécanismes et qui à pour objectif un résultat précis. Chacun des mouvements reproduit par la machine, va être déterminé par son assemblage, sa configuration issue d'un raisonnement humain. Or, au jour d'aujourd'hui, la machine arrive à des mouvements et des processus qu'elle est capable de faire si perfectionner que l'on vient à se demander si l'animal ne serait pas en faite une machine régi par Dieu lui même. En effet, ne greffe t-on pas un cœur comme on change un piston ? (je vous laisse deviner pour la vidange ;)
Ce qui apparaît comme une similitude, ne va t-elle pas permettre de créer une véritable assimilation des êtres vivants à de « simples » mécanismes ? Si l'homme, est de par la penser, au « sommet » de la hiérarchie du vivant, il fait tout de même partie du vivant, et entrerait donc