Corpus
Dans le texte 1, on retrouve l'idée plus qu'optimiste que l'Homme est avant tout un individu indépendant, qui se doit de devoir raisonner pour pouvoir façonner son image : « C'est ton propre jugement, auquel je t'ai confié, qui te permettra de définir ta nature. » Son unique réflexion l'amènera à devenir une personne critique : « c'est pour que de là tu examines plus à ton aise tout ce qui se trouve dans le monde alentour » Le fait de pouvoir jouir d'une certaine liberté, d'être maître de son destin l'amènera à définir qui il est vraiment : « Tu pourras dégénérer en formes inférieures, qui sont bestiales ; tu pourras, par décision de ton esprit, te régénérer en formes supérieures, ».
Dans le texte 3, on retrouve une idée similaire associé à l'Homme, en effet, dans cet extrait on retrouve l'image d'un individu plutôt indépendant : '' à la douceur de cette solitude et à moi '' - l.4. La réflexion est toujours présente. Pour l'auteur des Essais, savoir réfléchir, c'est savoir prendre sa vie en main : « Avez-vous su méditer et manier votre vie ? Vous avez fait la plus grande besogne de toutes. »
Ces deux textes montrent que l'Homme est un être libre de ses décisions et par conséquent, il est le seul capable de prendre sa vie en main pour pouvoir la rendre meilleure.
Dans l'extrait de Le tiers Livre, on retrouve cette vision de l'Homme cultivé. On repère un vif intérêt pour la science, plus précisément pour le corps humains dû à la précision de certains propos : « Les veines du