Corpus
Tout d’abord tragédie possède des thèmes privilégiés car on observe le champ lexicale de la haine et du crime : « haine pure ; mort ; trahison ; Crime ; Parricides,» par ailleurs, on apprend, que le registre tragédique est souvent liées à des amours impossibles débouchant sur la cruauté « amants ; amour ; cruauté ; Incestes ; le désespoir » d’ailleurs on à quelques références à ce sujet cité dans les textes « l’art Bérénice ; d’Iphigénie ». La tragédie repose donc sur le drame, la mort et sur des liens fort entre les personnages. Quand l’un bascule l’autre tombe et cela mène à la catastrophe. Tout est alors dans un enchainement de drame inévitable Pour eux la tragédie incarne l’innocence et les limites de l’homme symbolisant la pureté « de la pureté ; de l’innocence ; tendresse ».
Pour accentuer ces limites les tragédies se déroulent souvent dans la classe aisée car elle symbolisait auparavant la pureté et voir la classe la plus haute d’effondrer sous un drame souligne encor plus cette impuissance de l’homme. Dans les essais de Jean Anouilh, George Steiner et Beaumarchais on trouve le champ lexical de la royauté
Par ailleurs à parfois la présence de dieux ou de personnage surnaturelles se confrontant à des innocents pour venger quelqu’un d’autre.
Pour terminer dans chacun des essais, une idée ressort en permanence. Pour les quatre auteurs la visée du tragédique est faire espérer. C’est un espoir inutile mais il le dise « reposant » car le publique connais déjà le dénouement de l’histoire. Il sait qui va mourir et pourquoi, mais pourtant, il espère. Pour eux la tragédie est déjà toute tracée. On trouve d’ailleurs le champ lexicale du dénouement et de la certitude «