Corpus v. hugo
Le corpus est composé de trois textes, issus du recueil Les Contemplations de Victor Hugo. Le premier s’intitule « Mes deux filles », du recueil « Aurore », le second s’intitule
« Les femmes sont sur la Terre », du recueil « L’âme en fleur », et le dernier s’intitule « 15 Février 1843 » du recueil « Pauca meae ». Les points communs présents dans ces trois textes sont le thème de l’amour et le thème de la nature. D’abord, le premier point commun est celui du thème de l’amour. Victor Hugo nous montre l’amour qu’il a pour ses deux filles, Léopoldine et Adèle. En effet, on peut remarquer que dans le poème « Mes deux filles », Victor Hugo apparaît comme un père comblé, on pourrait même croire que ce poème fait partie de son journal intime. Il ne se lasse pas de voir ses deux filles ensembles. L’aspect de l’amour présent dans ce texte est celui du sentiment naturel et universel que Victor Hugo éprouve pour ses deux filles qu’il aime. Par exemple, au vers 3 « Belles, et toutes deux joyeuses, O douceur ! », le poète fait une phrase exclamative, il cherche à exprimer le sentiment de bonheur et d’amour qu’il éprouve. Mais il utilise également le « O » lyrique, il cherche donc ici aussi à interpeller le lecteur, pour lui faire ressentir ce que lui ressent. Dans le poème « 15 Février 1843 » au vers 4 « Emporte le bonheur et laisse-nous l’ennui ! », Victor Hugo fait de nouveau une phrase exclamative. Mais il fait également une antithèse. Il s’exprime et partage le sentiment qu’il ressent. Il oppose le bonheur et l’ennui, on constate qu’il aime sa fille, et qu’il n’est pas égoïste, il pense d’abord au bonheur de sa fille avant de penser au sien. Il souhaite que sa fille soit heureuse, quitte à ce que lui s’ennui. Dans le dernier poème qui s’intitule « Les femmes sont sur la terre », Victor Hugo nous fait partager le sentiment d’amour qu’il ressent pour les femmes. Au vers 11-12 « Si Dieu n’avait fait la