corpus lumières
Tout d’abord, nous pouvons constater que dans le premier texte de Paré, que la légende de la licorne semble une vérité pour le peuple : « On prétendait que la corne de licorne possédait des vertus extraordinaires contre les plaies venimeuses et constituaient notamment un contrepoison très efficace ». Le verbe « prétendre » signifie que ce n’était qu’une légende ou une hypothèse. Néanmoins, le peuple y croyait complètement malgré le fait que les médecins n’approuvaient pas du tout cette légende tel qu’Ambroise Paré. D’après l’auteur, le monde veut être trompé pour se donner bonne conscience. C’est en restant dans cet état d’esprit de l’ignorance que le progrès ne peut être possible.
Dans le deuxième texte, c’est la naïveté des gens qui fait que le progrès n’est pas possible. La crédulité du peuple, le sentiment d’infériorité vis-à-vis des scientifiques et le fait de croire tout ce que les scientifiques disent font que le progrès est impossible. Ce sont aussi les scientifiques qui ralentissent beaucoup le progrès par leurs livres qui racontent certaines choses sans aucune preuve ni aucune étude sérieuse.
Dans le troisième texte de Jean Tronchin, c’est l’incrédulité et l’ignorance des gens face aux nouvelles trouvailles scientifiques et de médecine qui ralentissent le progrès « bannir des scrupules fomentés par l’ignorance …» « cette foule sur qui l’ignorance n’a point de prise ».
Pour remédier aux obstacles où se trouvent confrontés le progrès et le savoir, Jean Tronchin nous explique dans l’article de l’Encyclopédie qu’il va y