Corpus fayette stendhal flaubert gracq
Nous essaierons donc de comprendre comment le narrateur fait ressentir les sentiments et les impressions des personnages.
D’entrer on remarque que dans les quatre scènes le narrateur utilise la troisième personne pour raconter le moment de l’action. Pour tous les extraits l’utilisation de cette personne se ressent dés la première phrase. On comprend directement que le narrateur est omniscient, il sait tous sur tous et connait les personnages et leurs ressentis on assiste à une scène sans y être. Cela est souligné au premier mot pour Julien Gracq : « il se mit », de même pour Madame de la Fayette : « elle avait ouïe parler ». Cela nous permet donc de vivre les sentiments et les impressions des personnages.
Ensuite l’usage d’une description riche en détails nous fait comprendre que les personnages sont dans des descriptions passionnelles. Dans les quatre extraits nous sommes face à des descriptions très détaillés et nous pouvons presque vivre la scène à travers le texte. Aussi cela se remarque plus dans les textes de Gracq et de Flaubert, avec l’usage d’amplifications comme : « extraordinairement juvénile », « il n’avait jamais vu cette splendeur », « un teint si éblouissant », « tellement surpris de sa beauté ». Nous somme ici face à des expressions à la limite de l’hyperbole.
Enfin les narrateurs nous font connaitre les sentiments des personnages en mettant de la vie dans les textes on remarque de la rapidité dans les phrases quand