Au Québec, on a commencé à diagnostiquer le TDAH, c’est-à-dire le trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité, dans les années 1950. Mais c’est surtout depuis une vingtaine d’années qu’on prescrit plus systématiquement à ces jeunes des médicaments comme le Ritalin, afin que leurs symptômes soient diminués.
Par contre, un problème survient puisque que les médecins en prescrivent beaucoup trop. En 10 ans, l'utilisation du Ritalin a augmenté de façon fulgurante au Québec, le nombre de prescriptions vendues est passé de 33 000 à 248 000. Cette situation est certes alarmante puisqu'on ne connaît pas les effets secondaires à long terme de ce médicament et qu'il est donné à tort et à travers dans les écoles afin de calmer les enfants les plus turbulents. Les raisons de cette hausse restent toujours obscures, mais chose certaine, cette situation reste troublante.
Ainsi on doit se poser certaines questions par exemple est ce que l’utilisation de ce médicament est réellement nécessaire pour tout les enfants à qui celui est prescrit. Personnellement, je suis persuadé que non et qu’il a d’autres solutions aux problèmes d’attention de ces enfants turbulents.

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Aux États-Unis, : 25 % Oui le ritalin calme et aide les enfants à se concentrer Par contre, Le Ritalin ne guérit rien, il ne fait qu'atténuer les symptômes, son action ne dure que trois ou quatre heures et ses effets secondaires sont importants: insomnie et perte d'appétit. Il doit être administré plusieurs fois par jour. Il y a des inconvénients à le donner à l'école. Il peut provoquer un effet "rebond" (colère, frustration et mauvaise humeur) quand le médicament ne fait plus effet. Possibilité de l'effet "montagnes russes" pendant la journée lorsque l'effet de la médication fluctue.

Les enseignants sont mal informés.À Montréal, des enseignants exigent que les élèves les plus agités prennent du Ritalin sinon ils les