Contraction musculaire et atp spécialité svt
Dans les muscles on distingue deux types de fibres qu’on appelle ici fibre de type I et de type II, qui se distinguent par des performances mécaniques différentes. Comment expliquer ces différences de performance ?
Document 1
Le document 1 est un tableau qui présente quelques caractéristiques des fibres lors d’une stimulation. La fibre de type I peut se maintenant pendant toute une stimulation en contraction et la quantité d’ATP présent après la stimulation est toujours identique à celle de départ tandis que la fibre de type II a une performance de contraction diminuante au fil du temps. A la fin de la stimulation il ne reste pour cette fibre presque plus d’ATP. Quel est le lien entre ATP et contraction musculaire ?
Document 2
Le document ici est un graphique illustrant une expérience sur l’effet de l’ATP concernant la contraction musculaire. Jusqu’à t = 1s la force de contraction des myofibrilles est nulle or a t = 1s on y ajoute de l’ATP. Dès lors, jusqu’à T = 5s on remarque que la force de contraction augmente rapidement (3 secondes environ) de 0 à 2 (unité arbitraire) sans jamais dépassé cette dernière valeur, on note en effet une certaine stagnation avant qu’a t = 6s on ajoute un poison, le Salyrgan qui bloque l’utilisation d’ATP et que la force de contraction musculaire s’en voit ainsi diminué de façon quasi instantanée (1,5s). On peut déduire que l’ATP est essentielle à la contraction musculaire et qu’il y a un seuil qui borne la force de contraction musculaire. L’ATP joue-t-il aussi un rôle dans la performance des contractions musculaire ?
Document 3 3.a On remarque sur cette coupe transversale de muscle observée au microscope optique que les fibres de type I sont fortement vascularisé (beaucoup de capillaires sanguin à leurs abords). 3.b Cette vascularisation à une échelle plus petite est suivie par un plus grand nombre de mitochondries pour les fibres de type I. Les fibres de types II peu vascularisé n’ont