Conscience
Si l'être et le langage sont un, alors si l'être est inconnaissable et que le langage est connaissable, alors les faits sont distincts du langage et le langage n'est pas l'être. Argument rejeté car cela contredirait le cogito ergo sum. Si les faits et le langage sont connaissables, alors l'être est connaissable. Argument rejeté car l'être est métaphysique et inconnaissable. Si les faits sont connaissables et que l'être est inconnaissable, alors l'être n'est pas un fait. Le langage n'est pas un fait. Le langage pourrait être a priori inconnaissable, c'est-à-dire inépuisable. Argument retenu. Le langage est inépuisable comme les mathématiques, et dès lors on peut imaginer tous les concepts. L'imagination n'a bien donc aucune limite. Théorème : le nombre de concepts imaginables est supérieur au nombre de faits possibles.
Sur les arguments ontologiques de l'existence divine Admettons que l'ontologie et la métaphysique soient connaissables. Si nous rencontrons des incohérences ou des contradictions dans la tentative de démontrer l'existence de Dieu, alors la preuve par l'absurde peut conduire à la réfutation des arguments ontologiques de l'existence divine. La connaissance naît de l'expérience. Sans expérience de la vie, nous n'apprendrions rien, sans expérience de la souffrance nous ne pourrions pas connaître l'empathie, ni devenir mûr. Ce point sera expliqué plus bas. L'argument ontologique sur l'existence de Dieu le plus connu est celui de