Conférence délocalisation
Inquiétude : - délocalisation, 1h de travail vaut 30 fois qu’une Chine. Dans les PED => coût inférieur de la MO // charges sociales et fiscales plus faibles. Pour 82% des français, il faudrait baisser nos charges sociales. - Migration (le plombier polonais) - fusion-acquisition (actionnaire indien, ex Mital lance une OPA, pb d’éthique entreprise pauvre rachète entreprise riche) - globalisation financière (crise des subprimes)
Statistique : 41% des français pensent que la mondialisation est bonne pour la France. 68% pensent que c’est une menace.
Analyse économique : La mondialisation est un jeu win-win. Mankiw. Le solde entre les gains et les pertes est positif. Mais il y a quand même des pertes minimisés. (cf les entreprises non adaptées à la concurrence ou les salariés qui perdent leur emploi, pb de mobilité spatiale ou qualification)
Enjeu essentiel est d’accompagner les salariés. Donc protection sociale plutôt que protectionnisme commercial.
Forme de la mondialisation : Echange de B&S ? Mobilité des ressources : IDE et migration. Accord de coopération transnationale. Globalisation financière (investissement de portefeuille).
Le cas de la France : 5 à 10% des destructions d’emplois dans les délocalisations (1995-2001) Pb à l’échelle locale mais pas beaucoup de conséquence à l’échelle macro. Délocalisation pas forcément dans les PED ! Jeu de la bulle médiatique ? Effet mouton pour l’information. La France reste attractive à l’échelle mondiale, 3/4ème place pour les IDE. Cas de relocalisation : Atol.
Le monde en 2050 : hypothèse. Chine leader mondial, France en 10-12ème positions. Les 1ères places occupées par les BRICS. Mais donnée à relativiser. Phénomène de convergence.
Quelle stratégie ? : S.Berger. Made in Monde. La question n’est pas le made in France mais bien être insérer dans le processus productif mondial. Limite à