Confessions "le peigne cassé"
Intro
Ce texte est extrait du premier livre des Confessions, qui est un récit autobiographique du philosohpe des Lumières Rousseau, publié de façon posthume en 1782. Rédaction avant préambule et incipit. Jean-Jacques est âgé d'environ 12 ans car nous sommes à la fin de son séjour à Bossers. Il a été confiés par son père à son oncle Bernard, puis il est mis en pension en compagnie de son cousin chez les Lambercier (pasteur). Ils étaient heureux. C'est l'âge d'argent pour eux. Apprécient leurs éducateurs pour leur équité. Chez son père âge d'or. Ce texte marque le début de l'épisode du peigne cassé, un épisode marquant, en cela qu'il représente « la première injustice » => quatre pages. Dans pages précédentes goût pour la fessée quand administré par une femme. Texte représente le récit des faits. Trois parties => première partie registre dramatique (découlent des faits depuis constat du crime. Un peigne de Mlle Lambercier à éé cassé => l'annonce de la punition avec le cousin bernard), deuxième registre ironique (parenthèse quelque peu ironique de l'auteur adulte par rapport à l'enfant qui va en oublier son penchant pour la fessée), troisième registre héroïque (deuxième paragraphe) (consacré au martyre de JJ et à la résistance qu'il oppose aux adultes. L'acte d'héroïsme, c'est de ne pas avouer le crime qu'il n'a pas commis.
Déjà dans ce texte, rousseau cherche à souligner les enjeux de cet épisode. De ce fait, il s'agit d'un texte ambivalent : ils oscille entre objectivité et subjectivité. Dans un premier temps nous envisagerons le point de vue de l'adulte qui se veut distancié, réfléchi. Et dans un second temps le point de vue plus émotionnel de l'enfant.
I/ Le point de vue de l'adulte (distancié)
Ce point de vue transparait dans un texte qui est principalement narratif. Il transparait au détour du récit.
1) Dans le récit des faits lui-même a/ IL relève constat objectif, et qui est marqué par une