LILLE, le 2/12/2012 | Présents : Anaël Souchong, Patrick Kaas,Sauveur Adamo, Mylène Sheperd,Daniel Folavoine, Serge Gainsbard, Cindy Vartan, Albin Nabar et Etienne Baho | Excusés : | Absents : | Compte-rendu | Ordre du jour : Intérêt de l’obtention d’une labellisation Qualité Asie | Date et heure de début de la conférence : le 2 Décembre 2012 à 14h30 |
Analyse
Début de la séance 14h30, tous les directeurs des établissements et Anaël Souchong sont présents à la réunion téléphonique. Etienne Baho, directeur de l’établissement de Liège manque à l’appel.
Madame Souchong ouvre le débat en exposant le problème suivant : est-il opportun pour le réseau d’établissemenst Wok and Work d’obtenir une labellisation Qualité Asie ?
Sauveur Adamo, après avoir étudié avec intérêt le rapport trouve que le label Qualité Asie, semble intéressant pour ce type de restauration et cadre bien avec le souci : transparence et qualité. Selon lui, l’obtention de ce label ne devrait pas être trop difficile.
Daniel Folavoine, plus optimiste pense que ce label va être une perte de temps pour causes, la soumission de contrôles réguliers ainsi que la mise au point de procédures à la suite de l’obtention de ce label. Il n’est pas favorable à ce projet.
Serge Gainsbard partage l’avis de Daniel Folavoine, il craint que cela ne crée beaucoup de perturbations pour peu d’effets. Le label Qualité Asie serait un handicap pour les établissements Wok and Work.
Patrick Kaas souligne l’idée d’obtenir un label qui attesterait une conformité à certaines règles, comme séduisante mais il émet des réserves en évoquant la possibilité que les établissements Wok and Work soient dans le créneau visé par ce label. Monsieur Kaas est plutôt favorable à la démarche.
Albin Nadar ne souhaite pas recevoir d’audits inspecter ses cuisines.
Mylène Shepherd a estimé que l’obtention de ce label serait une opportunité pour garantir aux clients une égalité de prestation et de qualité quel que soit le restaurant