Compte rendu du film : douze hommes en colère
Voici le compte rendu Douze Hommes en colère.
L’histoire débute dans un tribunal, au États-Unis, là où la peine de mort est légale, dans les années 50. À la fin du tribunal, le jury doit délibérer, à savoir si l’accusé et coupable, où il sera condamné à la chaise électrique, ou si l’accusé est non coupable, s’il y avait des doutes valables contre sa condamnation. Le jeune homme était accusé de meurtre envers son père avec un couteau, où il y aurait deux témoins oculaires pour confirmer les faits. Le jury a donc délibéré dans une pièce à part, pour décider de la vie d’un homme. Sur les douze personnes, un seul pensa le jeune homme non coupable. L’homme en question voulait peser et essayer d’analyser tous les propos des avocats, pour déceler des doutes valables. Il était, selon moi, sage de procéder ainsi, car c’était la vie de quelqu’un qui était en jeu. Lorsqu’une telle décision doit être prise, il est, d’après moi, normal et plus que nécessaire, de peser tous les propos minutieusement, car de toute façon, qui sommes-nous pour juger de la vie de quelqu’un, pour savoir s’il mérite ou non de vivre? Pour juger équitablement l’accusé, un concept est primordial à prendre en compte, le doute. C’est d’ailleurs sur ce concept que l’homme qui disait l’accusé non coupable se fiait. « Le doute est un état d’esprit provenant d’une absence de certitude ». Le doute : « [A]ttitude réfléchie, volontaire et critique ; suspension du jugement devant ce qui se présente comme une vérité, afin de l’examiner et d’en mettre à l’épreuve le bien-fondé ». Sans entrevoir le doute, le jury n’aurait pas pu prendre une décision éclairée. Lors d’un jugement impartial, il est primordial que les sentiments, les valeurs et les préjugés ne soient pas pris en compte. Il faut être impartial, jugé l’accusé uniquement selon les faits. Après tout, dans ce cas-ci, c’est la vie d’un homme qui est en jeu. Le plus sage à prendre en compte est le doute