Comprendre la dimension émotionnelle de son rôle
Tous les spécialistes RH le savent, et on ne le redit jamais assez, ce ne sont pas les compétences métier qui font le bon manager. et tant pis si celui-ci a des collaborateurs plus compétents que lui. Pourtant, trop souvent encore aujourd’hui le responsable d’un équipe de vente est nommé parce qu’il est le meilleur vendeur, le chef de projet parce qu’il est l’ingénieur le plus compétent, etc.
Parce que son comportement a une influence sur celui de ses collaborateurs, le manager doit bien se connaître, et pour cela comprendre la dimension émotionnelle de sa personne et de son rôle. Il s’agit de rechercher les facteurs qui motivent et déclenchent les actions ou les inhibitions dans les situations personnelle, sociale ou professionnelle. Un intervenant extérieur peut vous aider à mieux vous connaître, en vous montrant quelles sont les clés des fonctionnements présents et les points d’appui pour progresser : les facteurs de comportement, liés à la prédominance d’un type de fonctionnement mental, l’intelligence émotionnelle, dont il a été démontré qu’elle contribue plus à la réussite personnelle de l’individu que le quotient intellectuel, les potentiels personnels, dont la pleine expression conditionne l’épanouissement de l’individu, les modes de relation avec l’environnement : communication et action, les stress et anxiétés.
Les exigences de vos clients, de vos collaborateurs, de vos actionnaires, la compétition vous obligent à des changements rapides. Vous et vos managers devez sans cesse anticiper et être réactifs.
Pour autant, vous ne pouvez pas relâcher l’effort pour construire des fondations solides.
Trop souvent, la pression mise sur le dirigeant et l’encadrement les conduit à adopter des comportements vis-à-vis des collaborateurs qui s’avèrent contre-productifs à moyen terme.
Notre conviction est que travailler à la satisfaction des managers et des collaborateurs - sans transiger sur