Comportements de citoyenneté organisationnels
L'idée que l'environnement social peut avoir un impact énorme sur la façon dont les personnes interprètent les aspects de leur travail, ainsi que la façon dont ils font leur travail, n'est pas nouvelle
(Blumer, 1969; Cappelli & Sherer, 1991; Johns, 2006; Mead, 1934; Parsons, 1951;
Salancik et Pfeffer, 1978; Schneider, 1975; Wrzesniewski, Dutton, & Debebe, 2003).
Pourtant, en dépit de la prévalence de construction de CCO dans la littérature organisationnelle et la régularité avec laquelle les chercheurs administrent les échelles existantes, l'influence de l'environnement social sur les perceptions de la citoyenneté et le comportement est encore étonnamment inexploré (Farh et al, 2004;. Kwantes et al, 2008.). Cette relation est non seulement importante pour l’exploration et la promotion de ce corps de la bourse, mais il a d'importantes applications pratiques, ainsi, si les comportements de citoyenneté est le produit d’influences contextuelles, les gestionnaires cherchant à modérer le niveau des comportements de citoyenneté dans leurs organisations, peuvent prendre différentes mesures que si la citoyenneté n’est pas principalement tirée par des caractéristiques individuelles.
Comme les descriptions de travail sont de plus en plus vague (Bridges, 1994) et on s’attend à ce que les employés s'engagentr dans des rôles plus vastes et plus de travail émergents (LE Davis & Wacker,
1987; Parker, 2000), la conceptualisation d'un «citoyen de l'organisation" comme quelqu'un qui s'engage simplement à des activités au-delà de certaines hypothèse, la limite officielle de leur emplois prévues semble archaïque. On se demande comment les employés de ce nouveau monde du travail, définit les limites d'un comportement qu’il «devrait» effectuer d’un comportement «discrétionnaire» donné, tels les rôles fluides. Bien que ce changement soulève des questions importantes sur la façon