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Depuis plusieurs années, les avancées technologiques ont permis aux gens de la société d’aujourd’hui de faciliter leur mode de vie comparativement à avant, où la vie était plus misérable. Avec une lecture attentive du conte Comme une odeur de muscle écrit par Fred Pellerin ainsi que la lecture de la bédé un magasin général écrit par les bédéistes Loisel et Tripp, il est possible de voir que la société rurale décrite dans ces deux œuvres reflète parfaitement ce qui se passait dans les villages québécois dans les années 20. Les auteurs optent pour une description de la société où l’on voit que la collectivité ainsi que la réalité socio-économique sont très importantes pour leurs villages.
Nous pourrons voir que dans la bédé ainsi que dans le conte, la collectivité et l’entraide sont très présentes entre les gens du village. Premièrement, dans le conte Comme une odeur de muscle, l’histoire se passe dans un petit village d’environ 1500 habitants qui porte le nom de Saint-Élie-De-Caxton. L’auteur Fred Pellerin décrit l’histoire en donnant une vision exagérée d’un village, le sien où il a vécu toute sa jeunesse. De plus, celui-ci utilise un langage digne de la réalité québécoise en faisant beaucoup de jeux de langue. Après avoir lu et écouté le livre CD, il est possible de voir que la communauté de Saint-Élie-De-Caxton vivait en collectivité et en s’entraidant pour faciliter leur mode de vie puisque l’histoire se passe à l’époque d’une grande pauvreté et voir même d’une misère. Tous les gens de Saint-Élie-De-Caxton, pour la plupart, se connaissent et attendent avec impatience le tournoi international de dames. Au programme de chaque dernier samedi de novembre, toute la société se réunit pour assister au tournoi afin d’encourager les gens de la place. Voici un passage qui montre le montre bien : « Du bissextile volontaire pour une grande occasion. Et du monde à perte de vue. De la fumée à rien y voir. » (P56-57). Ici, on peut voir que le tournoi de dame