Communiquer dans des contextes
Communiquer, c’est le grand mot du 20ème siècle
CUM : avec HUMUS : humains NICUS : faire un
Mais des paradoxes existent : + on souligne la nécessité de communiquer, + il semble difficile d’y parvenir.
La communication par le biais des T.I.C. (Technologie de l’Information et de la Communication, + N.T.I.C. = Nouvelles T.I.C.) devient planétaire (internet, radios…) mais l’être humain éprouve toujours des difficultés à échanger ses idées. La communication est un concept difficile à cerner car elle s’exerce dans des contextes multiples et n’a de sens que si l’on la déplace dans ces contextes.
A. Des approches multiples :
L’étude de la communication à pris depuis plusieurs années une importance grandissante sous l’impulsion de chercheurs issus de disciplines diverses : psychologie, sociologie, linguistique, mathématiques, chimie, physique, psychanalyse…
En effet l’acte de communiquer fait intervenir des processus aussi bien conscients qu’inconscients, des données génétiques, des représentations culturelles.
Nous allons donc voir plusieurs contextes :
1) Le sens commun :
L’action de communiquer consiste à transmettre quelque chose à quelqu’un : l’idée de communication implique donc celle d’échange, et donc de transfert de message d’un émetteur vers un récepteur, mais sa signification est beaucoup plus large que cela.
Emetteur Bruits Récepteur Info
Rétroaction
2) L’approche des psychologues :
En psychologie, la communication est définit comme la transmission de l’information entre une source et un destinataire. L’accent est mis sur le terme d’information en temps que moyen de réduire l’incertitude.
L’information pour être significative fait référence à des connaissances communes de l’émetteur et du récepteur. Elle n’atteint sa cible que dans la mesure où elle est comprise conformément à l’intention de son