Communautarisme et separatisme social
Alors que tout est mis a disposition aux individus pour leurs permettre de communiquer, d’échanger, de s'informer, on constate que persiste toujours, l'existence du communautarisme et d'un séparatisme social en France. On entend par séparatisme social une ségrégation urbaine fondé sur le repli sur soi, la défiance, où chaque classe sociale refuse de se mélanger avec une autre classe la considérant comme inférieur. Le communautarisme, est un mouvement de pensées qui fait de la communauté (ethnique, religieuse, culturel, social, politique, sexuelle, sportive...) une valeur aussi importante, sinon plus que les valeurs universelles de la liberté, d'égalité, souvent en réaction au libéralisme et l'individualisme. Dans les formes les plus aigue du communautarisme le monde est manichéen: les bons (dans la communauté) et les méchants (hors de la communauté). De nos jours ce terme est employé de façon péjorative dans lequel on sous entend une notion d'ethnocentrisme et de repli sur soi. Le problème en France est que les périphéries, autrefois prisé, recherché sont aujourd'hui abandonné par les classes les plus aisé, et même par les classes moyenne émergeante. Les habitants de ces quartiers se ressemblent alors de plus en plus: la mixité sociale disparait au profit d'une sorte de ségrégation fondé sur le revenu. Pour ceux qui ne peuvent pas partir, la ségrégation social, conjugué a une relégation territoriale, crée les conditions de nouvelle construction identitaire. C’est ainsi que s'installe le communautarisme. A cette situation préconstitué, des facteurs aggravant vont venir se greffer, a savoir la négligence et la politique mal-adapté, les politiques de la ville (construction de logement sociaux: ZEP, zone d'urbanisation prioritaire, zone franche...) menées depuis le début des années 80 ont été un échec. En effet en agissant sur un ou deux levier au détriment d'autre, le gouvernement pensait résorber le fausser séparant les différentes zones isolées, d'une