Séquence 4: Cyrano de Bergerac, Edmond Rostand, 1897, O
O.E : Le texte théâtral et sa représentation du XVIIe Siècle à nos jours.
Pb : De quelle manière la pièce éponyme d’E. Rostand pose-t-elle la question de l’identité ?

Intro : On assiste ici à la mort de Cyrano qui reste dans sa constance avec son ami le Bret. Cyrano transforme alors sa mort en voyage grâce à la poésie.
I La vanité de l’amour 1. L’impuissance de Roxane.
- Roxane ne comprends rien : ‘’Que dites-vous’’ son impuissance, Discours onomatopée : ‘’Oh’’
-Fatalité -> expression impuissance : ‘’Je le perds 2 fois’’ = victime de son destin
-1 action verbale = verbe performatif : action par le langage -> jure de porter le deuil
-L’impuissance et l’expression de l’impossibilité de vivre cet amour. 2. L’amertume de Cyrano
- Relation avec l’amour, L’épitaphe est éloquente -> propos tirée ‘’Amant aussi … ‘’
Brise la fluidité de l’alexandrin. Accumulation de terme négatif = ‘’J’ai redouté’’ ‘’j’ignorais’’
-Pas une scène intime = d’autre personnages = Le Bret + Ragueneau
-Révélateur -> remonte à l’enfance = manque d’amour
II Vérité et poésie 1. Cyrano un être lunaire
-Illusion du conte mais non à la poétique. Réalité propre à Cyrano -> Rêveur, penseur.
-Grande proximité -> parle de la puissance de l’imagination -> Grand rêveur
‘’Une âme que j’aime’’ Cyrano = un esprit
-Il exprime la mort d’une manière poétique. Transformation de son agonie -> devient voyage ‘’Voyageur aérien’’. Il incarne les contrastes (baroque mélange des genres) -> ‘’Qu’il fut tout et ne fut rien’’ -> tout est vanité 2. Cyrano et l’acceptation de la mort
-Contraste entre l’acceptation de Cyrano et le refus de Roxane et le Bret -> Didascalie ‘’Le Bret se révoltant’’ Refus de la mort de son ami.
‘’Voilà le Bret qui grogne’’ = continuité majeure -> exprime sa fidélité.
-L’acceptation de la mort -> transformation de la mort en voyage.
Pas de dimension religieuse