Commentaire
Le narrateur se compare à Robinson car il est désespérément seul. Il utilise de la ligne 3 à 4 « [qu'il n'] avait même pas été aussi loin que Robinson dans la vie », en utilisant cette comparaison, il garde dans sa mémoire une pensée de Robinson, mais aussi il réalise que sa vie à coter de celle de son ami est pitoyable. Tout l'extrait est centré sur la comparaison entre Robinson et lui puisqu'il fait 4 fois la récurrence du mot « moi » qui se compare au brève acquis de Robinson à les siens qui ne sont que misérable et signifie que lui n'as jamais eu le courage, la bravoure et la chance de la capacité qu'avait son ami. La ligne 5 et la ligne 12 à 13 montre que Ferdinand se compare encore à Robinson car il y a la présence de l’outil de comparaison « comme », il se considère comme un incapable qui n'as jamais pu avoir « d'idée bien solide comme celle qu'il avait eue pour se faire dérouiller » ainsi, le narrateur exprime clairement que lui aussi aurait aimé avoir des idées aussi brave car lui à des idées « [qui] vadrouille plutôt dans [sa] tête avec plein d'espace entre » ligne 11, il compare ici les idées de Robinson qui était brillante à les siennes, qui sont dans sa tête et qui le reste car elle ne sont pas en état de sortir des espaces. Mais aussi il