Commentaire "le pouvoir des fables" de jean de la fontaine
Aussi, l’enjeu du récit, qui est de prévenir le peuple sur la menace de guerre, donne de l’importance à la situation, comme on peut le voir avec le champ lexical du danger « danger », « péril », « menace ». Enfin, le récit est caractérisé par l’alternance entre les verbes au passé simple « Courut », « recourut » et à l’imparfait « daignait », « regardaient ». Ensuite, la fable arrive à être agréable premièrement grâce à l’implication du lecteur, notamment avec les questions rhétoriques comme « Que fit le harangueur ? » ou « Ce qu’elle fit …afficher plus de contenu…
Le discours est caractérisé par le champ lexical de l’échange avec comme exemple « parla », « parler », « tonna », « écoutait » et « écouter », mais ces verbes sont associés à des compléments assez négatifs comme « fortement » ou « les morts » ce qui montre bien que c’est une critique du discours. On peut aussi voir dans ce discours l’utilisation du champ lexical politique « Tribune », « tyrannique », « république » et des « figures violentes » qui montrent la détermination de l’orateur. Mais ce discours n’a aucun impact sur le peuple qui est qualifié par les pronoms « on », « tous » ou « personne » pour montrer son unité et le verbe « daignait » ou l’adverbe « ailleurs » pour montrer son indifférence. Enfin, l’auteur utilise le discours indirect dans la première partie de la fable ce qui n’implique pas le lecteur et rend la lecture