Commentaire l'atelier de grumberg
Léon ramène tout au temps qui passe, ce personnage utilise beaucoup le champ lexical du travail : « commandes » ligne 12, « bureaux » ligne 28, « papier » ligne 26, « pension » ligne 27, « dossiers » et « fichiers » ligne 29, « atelier » et « travailler » ligne 39. Il pense au présent, et à son avenir à lui, dans son dialogue ligne 11, on remarque une insistance à la première personne du singulier : « me », « moi », « que je », « que j’ai », il utilise d’ailleurs une question rhétorique qu’il pose à Hélène « Tu crois que c’est la première fois que je vois un acte de décès. ».Même pour son dernier dialogue, Léon utilise une Asyndète, on comprend qu’il est pressé d’en finir avec cette conversation.Hélène apostrophe son mari « Pauvre idiot » ligne 16 en tentant de le faire prendre conscience de ses paroles, mais rien à faire, l’avis de son mari à ce sujet est …afficher plus de contenu…
Tout d’abord, Léon est représenter comme les gens de l’époque qui ont fait comme si la situation était normale. Ligne 20, Hélène s’exprime au futur de l’indicatif en demandant à son mari « qui se souviendra d’eux » comme si elle pensait au futur, comme quand elle dit « Et ses enfants comment ils sauront », l’auteur ajoute un aspect autobiographique, c’est ce qui a dû lui arrivé quand il est arrivé en âge de demander où se trouvait son père. Il ne pouvait pas le comprendre à l’aide de l’acte de décès puisque celui-ci aurait été bafoué. Elle est en quelque sorte le porte parole de Grumberg, elle exprime le désir de faire connaître la vérité et que justice sois faite pour tous les juifs morts dans les concentrations et dont on ne parle pas