Commentaire sur kiff kiff demain de faïza guene
Nous remarquons que la langue dominante dans l’extrait est non seulement le français usuel, le français simple et familier qu’on utilise dans la vie de tous les jours, mais aussi l’argot qu’on retrouve le plus souvent dans les banlieue notamment « couiller » et le verlan « meuf » ; nous retrouvons aussi dans le registre familier des expressions comme « vomi séché » et « destin de merde », des adjectifs comme « enfoiré » et « con », des abréviations tel que « sécu » et « mytho », et également le verbe « se casser ». Mis à part le français usuel et l’argot nous apercevons des mots arabes tels que « Cheikhs » et « Mektoub ».
Nous distinguons, dans l’extrait, plusieurs noms notamment des noms propre arabe tel que Yasmina, Mohammed, Fatma, et Myriam qui représente évidement les origines et l’identité arabe de la jeune fille, sans oublier le nom de son pays d’origine le Maroc, « babouche », « Cheikhs » et « ramadan » pour ses origines musulmanes. L’Afrique est aussi présente avec le nom propre Mamadou, et les mots « Noir » et « Afrique ». Nous percevons que la culture française est considéré comme un ennemi pour la banlieusarde vu les représentations qu’elle a de la psychologue Mme Burlaud « vieille », « moche » et « elle m’inquiète vraiment » ; le proviseur M.Loiseau l’« enfoiré » et le « con » n’a pas échapper a la jeune adolescente ; les assistants sociaux non plus, le premier ressembler à Laurant Cabrol et