Commentaire: peau noire, masques blancs
La conclusion de Peau Noire, Masques Blancs est vraiment intéressante, en particulier en raison de la différence entre les mots «nègres» et «l’homme». Selon Jane Hiddleston (2008 : 10), Fanon n'est pas disposé à trouver un sens pour «nègre» : son désir pour les Noirs d’avoir l’affirmation de soi ne repose pas sur une idée claire de la spécificité ethnique. En outre, le texte est comme un texte de découverte, donc la conclusion la conclusion fait aussi la même chose. C'est un roman de réflexion et de prise de connaissance. Ceci est illustré par la conclusion avec une série de questions rhétoriques, qui implique une dimension collective. Dans ce commentaire, je vais explorer ces idées plus en détail. D’ailleurs, je vais souligner les techniques littéraires utilisées par Fanon comme la répétition : par exemple, il dit souvent le mot «je». Il existe ici la tension entre les deux éléments d’introspection et une adresse à une communauté.
D’abord, le fait qu’il y a beaucoup de répétition et les questions rhétoriques est une manifestation littéraire de venir à la connaissance de soi. Il existe un lien entre le travail de Fanon et le travail d’A. Césaire. Si nous examinons la Cahier d’un retour au pays natal, qui était écrit par A. Césaire, on peut voir qu’il existe beaucoup de répétition au début du chaque phrase. Il est assez intéressant de voir sur la page, parce que la disposition de l'écriture de Fanon est comme un poème ; le fait que le texte de Fanon peut tendre à la poésie a une signification importante. Selon Brent Edwards, qui a écrit une étude sur le travail, cette méthode est utilisée pour représenter la découverte de soi. De la même façon, il y a répétition des mêmes mots au début de phrases dans la conclusion de Peau Noire, Masques Blancs, comme «n’ai-je», «dois-je», «je n’ai pas le droit» et «je ne suis pas». Avec l’utilisation des négatives et affirmatives, on peut dire que Fanon essaie de distinguer